A CAUSE DE L’IRT, UN CANARD CASABLANCAIS S’EN PREND ( À TORT) AUX OPÉRATEURS ÉCONOMIQUES TANGEROIS
Salhi Abdelmalek
Avec une insolence déconcertante, un canard casablancais s’en est pris violemment à des opérateurs économiques tangérois dans un vil espoir de porter atteinte à leur image et de les discréditer auprès de leurs concitoyens.
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, les personnalités visées par l’article calomnieux se sont toujours illustrées sur la scène publique locale par leurs actions philanthropiques au profit des populations démunies, par leurs contributions généreuses dans des actes charitables et de bienfaisance, ne reculant devant rien pour apporter soutien et assistance à des projets d’intérêt commun. Qu’il s’agisse de financement de centres d’hémodialyse pour venir en aide aux personnes atteintes d’insuffisance rénale, de la prise en charge des frais coûteux d’opérations chirurgicales, des dons incessants octroyés aux familles nécessiteuses, des structures d’accueil pour les Sans Domicile Fixe, les orphelinats…ces opérateurs économiques se sont toujours inscrits dans cette démarche solidaire.
Or, les personnalités citées abusivement dans cet écrivaillon n’ont jamais cherché à mettre leurs actions sous les feux des projecteurs, préférant agir dans l’anonymat, dans une totale discrétion. Pour eux, le caritatif demeure une action à caractère religieux et, de ce fait, ils entourent leurs contributions de mystère.
Que cela indispose certains au point de les amener à organiser des campagnes de dénigrement, il n’y a rien d’étonnant à cela. Mais quand on leur reproche de ne pas engager des fonds consistants pour renflouer les caisses de l’IRT, une équipe dont les dérives financières et la gestion opaque est un secret de polichinelle, cela dépasse l’entendement.
C’est navrant de livrer d’illustres citoyens à la vindicte publique pour le simple fait d’avoir canalisé leurs dons vers des actions citoyennes. Apparemment, les opérateurs économiques tangérois savent pertinemment que l’IRT nécessite une réforme structurelle de son mode de gouvernance pluôt qu’une manne financière à dilapider d’un revers de main dans de folles dépenses