La bataille électorale pour la Mairie de Tanger atteint son paroxysme. Ce poste est au centre de toutes les convoitises car c’est un enjeu majeur pour les principaux partis en concurrence.
Or, le succès de tel ou tel candidat est tributaire au jeu des alliances et des négociations post-élections et non aux résultats du scrutin.
Plusieurs candidats briguent le poste du Maire de Tanger.
Tout auréolé de ces 14 sièges, l’U.C nourrit de légitimes espoirs pour prendre les rênes de la Commune Urbaine. Sa tête de liste, Abdelhamid Aberchane multiplie les contacts, notamment avec le PJD, pour couper l’herbe sous les pieds à ses rivaux. Abdelouahed Mokrai Azibou (RNI), en sa qualité de cadre chevronné à l’administration mais novice en politique, jouit d’une bonne réputation auprès de la population tangéroise, certes, c’est un atout indeniable mais guère suffisant dans la guerre des alliances et des coalitions. Mounir Limouri (PAM) cherche lui aussi à conquérir la Mairie de Tanger. Son rêve pourrait être exaucé si son parti, le PAM, parvient à sceller une coalition avec le RNI, l’IS etconstituer une large majorité pour gérer les affaires dde de la capitale du Nord
Face au niet de la direction Istqlalienne, l’on ignore quelle décision prendrait Mohamed Hmami.
Le PAM a désigné Mounir Limouri, en tant que candidat au poste de maire de la ville de Tanger.